•  1.

     Chère auteur,

     Bonjour, je m'appelle Eva et j'ai 14 ans. Je suis en 3ème au collège de la Mandallaz à Sillingy (en Haute-Savoie) et avec ma classe de 3ème D, nous participons au prix littéraire 2011-2012. J'ai donc lu un de vos livres : «  Le tueur à la cravate ».

     Ensuite, je devais écrire à l'auteur du livre ou à un de ses personnages et j'ai choisi de vous écrire pour pouvoir vous faire part de mes impressions. Quand ma professeur nous l'a présenté, je dois avouer qu'au premier abord il ne m'attirait pas vraiment. Il était assez imposant alors que je ne connaissais pas encore le temps dont je disposerais pour le lire et je me demandais surtout ce que représentait l'image de la première page de couverture : un castor énervé ? un morceau de totem indien ? Je trouvai ensuite ma réponse au fil des pages.

     Puis, quand ma professeur nous a lu le titre, le résumé ainsi que les premières pages de votre roman, j'ai assez vite changé d'avis : finalement ce livre n'était peut-être pas si inintéressant ! La première chose qui m'a plu était le fait qu'un des personnages principaux était une fille d'environ mon âge. Mais j'aimais également le fait que ce soit un roman policier avec apparemment beaucoup de suspense. Après tout, je peux toujours l'emprunter au moins je serais fixée... Aussitôt dit aussi fait, je plongeai donc dans ce roman qui me promettait pleins de surprises et plus je lisais de pages plus je voulais en lire et plus il m'intriguait.

     Il faut dire que (d'après mes médiocres connaissances en romans) vous savez tenir, créer une intrigue et une énigme policière. Tous les éléments accusaient Martin Cassel : père et homme exemplaire malgré son côté mystérieux. Et je me demandai : l'auteur n'aurait quand même pas fait de Martin Cassel un assassin ? Je fus donc rassurée quand d'autres suspects apparurent.

     Bref, je ne vais pas vous commenter chaque étape de ma lecture mais je tenais à vous dire que votre livre m'a passionnée et c'est avec beaucoup de regrets que j'en ai lu la dernière page. La seule chose qui m'a un peu déçue est justement la fin qui m'a laissée... sur ma faim. Que devient Martin ? Comment évoluent les relations entre Kim, Martin et René ? Bien sûr, il y avait des éléments de réponses et c'est sûrement à nous d'imaginer la suite mais j'aimerais bien savoir comment vous, vous la voyez ?

    J'ai également lu «  Comment naît un roman ( ou pas ) » qui a répondu à toutes les autres questions que j'avais prévu de vous poser. J'ai trouvé que c'était une bonne idée d'expliquer d'où vous était venue l'inspiration, surtout que c'était encore une fois bien écrit. Merci pour ces quelques pages de bonheur en espérant que vous écrirez encore très longtemps des romans.

    Sincèrement,

     Eva

    A l'attention de Jean-Philippe Blondel


    2.

    Chère Marie-Aude Murail,

     Je vous écris une lettre suite à la lecture de votre roman « Le tueur à la cravate » que j’ai trouvé super.

     Premièrement le suspense de votre livre a réussi un exploit puisque moi, qui d’habitude ne suis pas particulièrement motivé pour lire, j'ai fini votre livre en moins d’une semaine.

     Ensuite comme dans tous les romans policiers, on se doute que le coupable est celui que l’on accuse depuis le début. Seulement, dans votre livre, on apprend l’identité du coupable avant la fin du roman mais cela donne encore plus de suspense à la fin du livre. J'ai beaucoup aimé l'idée que le tueur en série ait comme arme une cravate et que ce soit les enfants de l'accusé qui mènent l'enquête pour retrouver le vrai coupable et ainsi sortir leur père de cette affaire.

     Simon

     A l'attention de Jean-Philippe Blondel

    3.

     Chère Marie-Aude Murail

    J’ai bien aimé votre livre « Oh,Boy! ». Il est à la fois intéressant et passionnant. J’ai été intrigué par votre livre même s'il est assez triste pour les enfants. L’histoire était très attachante : une intrigue que j’ai adorée.

     Je trouve que les trois héros sont formidables. Moi j'ai préféré Siméon qui cherche toujours à retrouver ses parents.

     J'ai lu ce livre en quatre jours tellement il était bien. J’espère que vous réécrirez des livres comme celui-là car du début à la fin je l’ai apprécié.

    Loïc

     A l'attention de Jean-Philippe Blondel

    4. 

     La Balme de Sillingy, Le 15 décembre 2011

     Chère Madame,

       J'ai beaucoup aimé lire votre roman Le tueur à la cravate, une histoire qu'on ne lâche pas une fois commencée, c'est vraiment ce qu'il me fallait.

       Tout est très actuel dans ce roman. On y parle de blog, de facebook, de mail, de sites permettant de retrouver ses anciens copains de classe, même si c'est un livre pour adolescent, je me suis sentie très concernée puisque je me sers de tous ces moyens de communication.

        J'ai aimé les relations qui se tissent entre les personnages, les indices que sème l'auteur pour nous inciter à soupçonner tel ou tel d'entre eux. 

       Vers la fin tout s'accélère, il y a certains passages qui m'ont vraiment tenue en haleine.

     Cassandra

    A l'attention de Jean-Philippe Blondel

     5. 

    Le 15/12/2011

      Chère Marie-Aude Murail,

         Je m'appelle Mathieu, j'ai 13 ans et j'ai bien aimé votre livre. J'ai trouvé qu'il y avait dans votre roman beaucoup de suspense, ce qui m'a donné envie de toujours en lire un peu plus pour savoir ce qui allait se passer. Ce n'est pas comme certains autres livres policiers que j'ai lus où dès les premières pages on sait déjà la suite du livre et qui est le tueur.

         Mais sans vouloir vous faire de la peine, les livres policiers ne sont pas ceux que je préfère. Moi, ce que j'aime, c'est les livres où il y a des combats, des héros avec des pouvoirs, des scènes de fusillades, des poursuites en voitures, quand le sang coule et que le livre est drôle. C'est cela que je regrette dans votre livre, il n'y a pas assez d'action. Alors, j'espère que vous ne faites pas que des livres policiers et que vous en faites d'autres, avec ce que j'aime, comme ça je l'achèterai.

         Ce que j'ai bien aimé dans votre livre, c'est le père de Ruth et Béthsabée qui est très cool, il n'est pas comme certains parents qui nous grondent quand on dit un gros mot, quand on se tient mal à table ou encore pour rien. Ce que j'ai apprécié c'est que votre livre parle de tous les jours enfin presque car c'est rare que l'on découvre que son père est peut-être l'assassin de sa mère et de sa tante.

    Mes sincères salutations

     Mathieu


    9 commentaires
  •  1.

     Cher Sam,

     Tout d’abord, je dois te dire à quel point ton histoire est fascinante. Depuis le meurtre de tes parents par le Klux-Klux Klan, tu as affronté le racisme, au lieu de te cacher et de fuir ceux qui ont détruit ta famille. C’est une grande preuve de courage de ta part, car à ta place, beaucoup d’autres auraient baissé les yeux, et passé leurs chemins devant l’agressivité des blancs .

     Le courage de ta tante est lui aussi admirable, elle qui a osé dire « non » alors que les autres obéissaient et chuchotaient « oui ». Je vous respecte tous les deux car votre combat de non-violence a permis à des milliers de noirs américains de se libérer du mépris dont ils étaient prisonniers et de vivre comme de vrais citoyens, la tête haute, fiers de leurs droits.

     Aujourd’hui, une personne noire est présidente des États-Unis d’Amérique. Qui l’eut cru à l’époque où il n’était pas rare que des noirs soient brûlés sur les bûchers des racistes extrémistes ?

     Le monde a changé, et c’est en partie grâce à toi.

     Amicalement,

    Titouan H. Collège La Mandallaz.

     A l'attention de Jean-Philippe Blondel

    2.

    Chère Florence Cadier,

    Je m'appelle Clémence, j'ai 14 ans et je suis au collège de la Mandallaz en classe de 3°. Je vous écris cette lettre pour vous dire que j’ai beaucoup apprécié votre livre « Le rêve de Sam ». J’ai trouvé ce livre très intéressant et enrichissant. Ce roman m'a appris beaucoup de choses sur le racisme dont je ne connaissais pas l’existence. Moi qui n’aime pas trop lire d’habitude, j’ai beaucoup apprécié lire ce livre, il dégage un sentiment d’émotion. Ce livre m'a clairement bouleversée. Je conseille ce livre aux autres car il est plein d’histoire et d’émotion.

    J'ai bien aimé dans ce livre le combat que fait Sam pour la lutte contre le racisme, il est prêt à tout quitter pour cela. J'ai trouvé qu'il a eu beaucoup de courage pour commencer cette lutte à son âge et pour avoir su gérer toutes les conditions difficiles, comme la mort de son frère.

     Quelle a été votre principale motivation pour écrire ce livre ? Combien de temps avez-vous mis pour le faire ? Avez-vous été inspirée quand vous l'avez écrit ?

     Je vous souhaite de continuer à faire des livres aussi émouvants et enrichissants que celui-là, et je prendrais un plaisir fou à les lire.

     Toutes mes salutations,

     Clémence


    A l'attention de Jean-Philippe Blondel

     3.

    Bonjour Florence Cadier,

    J'ai particulièrement aimé votre livre, qui, inspiré de la réalité, m'a permis de mieux comprendre, d'analyser la situation des personnes noires en Amérique, et surtout de mettre des images sur ces évènements qui jusque là m'étaient inconnus.

    Le fait d'assimiler Martin Luther King à votre récit m'a plu, c'est un symbole de la lutte contre le racisme qui donne davantage de piment à l'histoire. Vous avez su montrer la haine de la population noire sans pour autant la rendre violente devant l'agressivité des Blancs.

    Je ne vous cache pas, qu'après avoir lu le résumé, je n'étais pas très attirée par votre livre, j'y voyais surtout un récit historique, ce que je ne recherche pas vraiment dans un roman. J'ai finalement été agréablement surprise, vous avez su mêler certes des évènements historiques de 1950 à 1960 pour les Noirs Américains, mais aussi des relations humaines et quelquefois des tragédies, qui ont confronté Sam à des pertes ainsi qu'à de nombreuses rencontres, aussi bien amoureuses qu'amicales. C'est en fait cela qui, pour moi, rend un livre intéressant : il me faut des sentiments.

     J'ai eu l'impression en lisant votre livre de feuilleter les pages du journal intime de Sam, vous racontez les faits avec beaucoup de précision, j'ai vraiment eu le sentiment d'être à ses côtés durant ses épreuves. Sa lutte non violente aux côtés de Martin Luther King aurait pu être celle de n'importe quelle autre personne dans son cas, c'est ce qui rend votre roman réel. J'ai vu en Sam la représentation de tout Noir Américain revendiquant son intégration au sein de la société.

    Cléo

    A l'attention de Jean-Philippe Blondel

     4. 

    Sillingy, le jeudi 15 décembre 2011

    Madame Florence CADIER,

     Je vous écris au sujet de votre ouvrage intitulé Le  Rêve de Sam. J’ai beaucoup aimé ce livre dans lequel vous avez dénoncé le racisme dans le sud des Etats-Unis en 1950.

    J’ai également apprécié le fait que vous avez créé ces deux personnages : Sam et Josh qui trouvent que les lois dans ce pays à cette époque sont très injustes et qui tout au long de l’histoire, se battent pour défendre la cause des afro-américains et manifestent chacun de leur côté avec leur préférence pour leurs leaders : du côté de Sam, c’est Martin Luther King  et du côté de Josh, c’est  Malcolm X . Votre livre est très intéressant et également très riche en connaissances sur l’histoire des Noirs Américains.

     J’ai aussi aimé la motivation pour laquelle Sam et Josh se battent .Cette raison est simple mais cela nous montre la haine qu’ont les deux frères au début de l’histoire : leurs parents se font tuer par le Ku Klux Klan simplement parce qu’ils voulaient s’inscrire sur les listes électorales. Et les deux frères défendent la cause des Noirs tout le long de l’histoire pour que cela ne se reproduise plus jamais et qu'ils aient les mêmes droits que les Blancs aux Etats-Unis.

     Pratiquement tous les passages de ce livre que vous avez écrit sont touchants, certains blessants pour les Noirs et surtout écrits avec passion comme si vous aviez vécu cette histoire.

     Ce livre montre que les Noirs se battent pour leurs cause aux Etats-Unis mais qu’ils voudraient aussi bien le faire dans tous les pays du monde et pour toutes les populations pour qu’il n’y ait plus de forme de racisme.

     Si les choses ont bien changé par rapport à ce racisme en 1950, je trouve qu’il y a encore beaucoup de progrès à faire et des choses à améliorer. Mais votre livre reste une belle preuve de compréhension envers ce sujet.

     Ce livre a reçu le prix littéraire du roman historique de la ville de Poitiers, le prix du roman historique jeunesse ainsi que le prix littéraire AlTerre ado et je pense qu’il les mérite beaucoup d’un point de vue culturel.

    Je vous remercie de l'attention que vous porterez à ma lettre, cordialement,

    Anthony

    A l'attention de Jean-Philippe Blondel

    5. 

    Madame Cadier,

    Voilà, je m’appelle Mailys et j’ai 14 ans. Je vous écris car j’ai lu votre livre " Le rêve de Sam ». Un roman que j’ai beaucoup apprécié et qui m’a beaucoup émue. J’aime beaucoup les livres sur le combat des noirs , c’est un sujet que j’affectionne beaucoup. Mais j’ai aussi beaucoup aimé comment le livre était écrit : c’est compréhensible et facile à lire. Comme je suis très difficile avec les livres (mais ce n’est pas pour autant que je n’aime pas lire) mais j’ai vraiment dévoré votre roman, je crois qu’il n’y a pas d’autres mots. 

    Par contre, j’aurais quelques questions à vous poser et j’espère que vous y répondrez avec toute votre attention. Je voudrais savoir comment vous avez fait pour vous mettre dans la peau de ce garçon qui est noir alors que vous vous êtes tout le contraire ? Mais aussi pourquoi avez-vous écrit cette histoire ? Est-ce que le combat des noirs vous a touché ? L’avez-vous aimé ? Est-ce à partir de cela que vous vous êtes inspirée ou avez-vous une personne proche de vous qui a connu cette injustice ? Êtes-vous contre le racisme ? Pourquoi vous semblait-il important d’écrire un roman sur la lutte d’un noir ?

    Voilas toute mes questions ! J’attends votre réponse avec impatience !

    Merci d’avance. Je vous pris d’agréer, madame Cadier, mes plus sincères salutations. 

     

    Une de vos lectrices, Mailys       

     

    A l'attention de Jean-Philippe Blondel

     

     


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  • SI VOUS AVEZ AIME… LE REVE DE SAM,  VOUS AIMEREZ…Sur le thème du RACISME et de la DISCRIMINATION

    SARAH COHEN SCALI, Contes Rouges, 1998, Hachette. R COH
    Mots clés : Racisme, Violence, Enfant maltraité

    ANDRE BRINK, Au Plus Noir De La Nuit, 1978, LGF. R BRI

     Mots clés : Racisme, Afrique du Sud, Apartheid

     JOHN H. GRIFFIN, Dans La Peau d’un Noir, Gallimard. R GRI

     Mots clés : Racisme, Apartheid

     ANDRE BRINK, Une Saison Blanche Et Sèche, Stock. R BRI

     Mots clés : Racisme, Liberté, Afrique du Sud, Apartheid

     MALORIE BLACKMAN et AMELIE SARN, Entre Chiens et Loups, 2005, Milan Jeunesse. R BLA

     Mots clés : Différences, Racisme, Noirs, Blancs

     AUTRES ( film, BD, Peinture …) :

    JUAN DIAZ CANALES et JUANJO GUARNIDO, Blacksad : Artic-Nation, 2003, Dargaud. BD Blacksad

    Mots clés : Racisme, BD, Policier, Fait de société

    SITE INTERNET, Combattre Le Racisme : Expliquer Le Racisme, 2008, Association internet pour la promotion des droits de l’homme.

    Mots clés : Racisme, Xénophobie, Discrimination raciale


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  •  1.

    Bonjour,

    Je m’appelle Leslie et j’ai 14ans. Je vous écris pour vous donner mon avis sur votre livre « Métal Mélodie », qui m’a beaucoup plu.

    Tout d’abord, quand je l’ai commencé il ne me plaisait pas trop, je n’arrivais pas à m’identifier aux personnages et je ne comprenais pas comment la mère de Luce pouvait laisser sa fille de 16 ans seule pendant quatre mois. Et puis au fur et à mesure, je me suis attachée à leur histoire et le fait qu’à chaque chapitre il y ait de plus en plus de suspense, m’a encore plus donné envie de me plonger dans ce livre.

     Tout au long de l’histoire, Luce devient un personnage très attachant, on arrive presque à se mettre à sa place, on se rend compte que c’est une adolescente presque comme toutes les autres, qui râle, se plaint et parle mal à sa mère. Mais ce qui la différencie c’est que sa mère la laisse seule et qu’elle est donc mise face à la vie d’adulte à 16 ans. C’est ce qu’elle avait toujours voulu, que sa mère la laisse tranquille, mais quand cela arrive elle doit affronter ses problèmes seule et se rend compte que sa mère lui manque et qu’elle n’est en fait pas là où elle le prétend. Cette histoire est touchante, n'importe quelle adolescente pourrait vivre la même chose et à certains moments j'ai pu me reconnaître dans le personnage de Luce.

     Toute cette partie en Espagne m’a donné envie de partir avec elle et de l’aider à trouver sa mère. L'histoire qu'elle vit avec le jeune Espagnol est très romantique et émouvante. J’ai quand même trouvé que quelques passages descriptifs des différents endroits d'Espagne étaient lassants, mais j’ai trouvé que c’était une très bonne idée de mettre un peu de dialogues en espagnol.

     Je voulais vous demander pourquoi vous avez écrit l’histoire d’une adolescente et de sa mère qui ont une relation assez spéciale, avez-vous vécu une histoire semblable ?

     Merci d'avoir pris le temps de lire ma lettre,

     Leslie.

     

    A l'attention de Jean-Philippe Blondel


      2.

    Amélie

    3°C Collège la Mandallaz

     Route pont du trésor                                                                                                                     Sillingy , le 16 décembre 2011

    Madame Maryvonne Rippert,

    Je vous écris car j'ai beaucoup aimé votre livre ! J'ai trouvé la fin un peu décevante, car elle est brutale, mais j'avoue qu'il m'a plu. Il y a du suspense et beaucoup d'émotions, parce que je suis dans la même tranche d'âge que l'héroïne. De plus l'histoire est jolie et bien construite. Comment avez-vous pensé à écrire ce livre ? Comment vous est venue l'idée de l'écrire ? Est-ce que vous vous êtes inspirée d'une histoire vraie ? Ça m'a fait comprendre que vivre sans ses parents c'était dur et que la vie n'est pas toujours facile. Si parfois on veut se séparer de nos parents , ce n'est que sur un coup de tête ! Ce livre m'a fait rire et pleurer. La lecture de ce roman fut un bon moment.

    Amélie

     

    A l'attention de Jean-Philippe Blondel


     3.

    Ambre     3°C                                                                                                    

    165 route Pont du trésor 74330 Sillingy                                                                                     Sillingy, le 16 décembre 2011

     

     Madame Maryvonne Rippert,

    J'ai lu votre livre et je me suis plongée dedans. J'ai vraiment aimé l'histoire de cette jeune adolescente qui, un jour, se retrouve seule chez elle car sa mère a disparu pendant quatre mois, pour se soigner en Espagne.

    En le lisant, j'ai pu imaginer à quoi une vie sans parents pouvait ressembler et je n'aurais pas aimé me retrouver à la place de cette jeune fille. J'ai ressenti les sentiments de cette adolescente quand elle retrouve sa mère en Espagne. J'étais contente pour elle à ce moment-là car elle avait enfin découvert la vérité à propos de sa mère.

     Métal Mélodie est un livre que j'ai beaucoup apprécié et je le relirai avec plaisir. J'espère que vous en écrirez d'autres avec le même genre d'aventure.

    Ambre

     

    A l'attention de Jean-Philippe Blondel

    4.

    Pauline                                                                           

     3°C , Collège de la Mandallaz,

    Route pont du trésor, 74330 Sillingy                                                                                        Sillingy, le 16 décembre 2011

    Madame Maryvonne Rippert,

      Je vous écris pour vous parler de votre livre qui m'a vraiment plu. Je l'ai lu d'une traite à tel point que mes parents me demandaient parfois de stopper ma lecture afin de les aider davantage. Le fait que le personnage principal soit une adolescente m'a sûrement aidée à rentrer dans cette merveilleuse histoire.

      J'avoue que je n'ai pas tout de suite compris la fin, et d'ailleurs, pourquoi une telle fin ? Je l'ai trouvée quelque peu brutale... C'est aussi une autre raison de cette lettre : vous interroger sur ce magnifique livre. Tout d'abord, j'aurais aimé connaître la provenance de l'histoire : est-ce une histoire vraie, une histoire mi-vraie mi-fausse, ou une histoire sortie tout droit de votre imagination ? Par ailleurs, j'aimerais savoir si vous-même avez été une adolescente turbulente, ou une femme changeant de vie, malade peut-être, comme Inès ...

     Je vous remercie du temps que vous avez consacré à la lecture de cette lettre.

     Joyeuses Fêtes.

     Pauline

     

    A l'attention de Jean-Philippe Blondel


     5.

     Bonjour,

    Je m'appelle Marion et je suis élève au collège de la Mandallaz, en classe de 3ème A.

    J’ai lu votre livre « Métal mélodie » et je voulais vous dire qu’il m’avait beaucoup plu. Au départ je ne comprenais pas trop pourquoi la mère a laissé sa fille toute seule pendant quatre mois, sans lui laisser de nouvelles. Mais mon moment préféré, c’est quand Luce part en Espagne à la recherche de sa mère, et que pendant son voyage, elle fait plein de rencontres, comme un garçon de son âge, ou d’autres personnes qui connaissent sa mère. J’ai beaucoup aimé l’aventure de Luce, car je me dis que ça pourrait arriver à beaucoup de monde. J'ai trouvé émouvante la fin du livre car elle retrouve sa mère et apprend qu'elle est malade.

    J'ai quelques questions à vous poser : Est-ce une histoire ou une aventure qui vous est arrivée ? Qui ou qu’est-ce qui vous a inspiré ? Pourquoi avez-vous décidé d’écrire une histoire où la mère et la fille ne s’entendent pas bien ? Est-ce que ça vous est arrivé dans le passé ?

    J’espère que vous pourrez répondre à toutes ces questions.

    Merci,

    Marion

    A l'attention de Jean-Philippe Blondel



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  •  1.

    Céline 3D

    Collège la Mandallaz 74330 SILLINGY

     Markus Schloss

    Berlin-Est ALLEMAGNE

    Le 14 décembre 2011,

    Markus,

    J'ai lu ton histoire et celle de ton Anna. Anna avait vraiment l'air d'être une fille géniale, pleine de vie, d'insouciance et de naïveté. Elle devait être belle pour que tu tombes sous son charme même avec plusieurs années d'écart. Je pense que tu ne la mérites plus, maintenant. Comment un homme pourrait mériter une femme dont il a provoqué la mort ?

     Oui, tu l'aimais, à un point inimaginable je pense. Tu aurais été prêt à décrocher la lune pour elle. Sûrement plus que cet Erik, mais tu n'avais pas le droit de briser sa vie, pas d'une manière aussi lâche ni d'aucune autre. Elle est morte par ta faute et seulement par la tienne. Il en est de même pour son petit ami qu'elle aimait vraiment. Elle est en quelque sorte morte par amour pour lui.

    Comment peux-tu encore te lever chaque matin et te regarder dans la glace ? Voir un homme qui a tant de choses à se reprocher. Un homme qui doit s'en vouloir encore d'exister. J'espère que tu entends souvent le cri d'Anna et qu'il te perce les tympans, te fait mal, te fait souffrir. J'espère que tu revois ce regard noir rempli de haine et de dégoût qu'elle t'a lancé. C'est tout ce que tu mérites. Souffrir autant qu'elle a souffert. As-tu déjà imaginé les tortures que lui ont infligées tes collègues lorsqu'ils l'interrogeaient ? Elle n'est pas morte par magie, mais par ta faute.

     Au début de l'histoire, je trouvais ton personnage touchant. C'était si mignon de voir un adulte se laisser attendrir par le charme d'une jeune fille. Je suis sûre qu'au fond de vous-mêmes, à cette époque, vous saviez l'un comme l'autre que quelque chose était en train de se passer entre vous. Je suis certaine que vous n'aviez pas pu être aveugles à ce point-là. Malheureusement, tu as une fois de plus tout gâché. Si tu t'étais mieux conduit, tu serais peut-être à ce jour marié avec elle et vous auriez trois beaux enfants gais comme des pinsons. Maintenant, c'est trop tard. Tu as tout perdu.

     Je sais que tu commences enfin à réaliser les atroces erreurs que tu as pu commettre. Il était vraiment temps. Dès le jour où tu as commencé à intégrer la STASI, ton personnage m'a déçu. Tu as choisi de vivre une vie tranquille, de respecter les règles d'un pays où les gens se mentent à eux-mêmes, et d'accepter une politique impossible à supporter.

     Aujourd'hui, le mur est tombé définitivement. Les gens qui l'ont connu s'en souviennent avec un air mélancolique. Des familles entières ont été séparées sans aucune excuse valable. Et toi, ton métier était de traquer ces gens qui cherchaient à passer de l'autre côté, pour retrouver un monde meilleur, ou seulement leurs famille et amis. Dis-moi, comment peut-on qualifier ce métier de "carrière gratifiante" ? Empêcher des gens de vivre la vie qu'ils ont choisie ne me paraît pas être une bonne chose.

     Si un jour tu avais eu le malheur de croiser Klaus, le frère d'Erik, je pense qu'il t'aurait tué. En tout cas c'est ce que j'aurais fait à sa place et ce que beaucoup d'autres gens feraient s'ils connaissaient ton histoire. J'espère que la vie que tu vas construire au paradis ou plutôt en enfer sera préférable. Enfin, on peut difficilement faire pire.

     Je te souhaite beaucoup de courage pour porter ces peines qui pèseront sur tes épaules jusqu'à la fin de ton existence.

     Tâche d'être meilleur.

     Adieu.

     Céline.

     

    A l'attention de Jean-Philippe Blondel


     2.

    Sillingy le 16 Décembre 2011

    Chère madame Claire Gratias,

     J'ai trouvé votre livre, Breaking the wall, génial et pourtant les livres historiques et moi, cela fait deux. Contrairement à ce que j'aurais pu imaginer, votre livre était passionnant. Je me suis plongé dedans avec une étonnante facilité. J'ai aussi bien aimé le principe de mettre deux histoires en même temps. Malheureusement, j'ai trouvé que si l'on connaît cette période de l'histoire on s'attend à ce qui va se passer dans votre roman à partir d'une centaine de pages. L'histoire est géniale car cette période-là me passionne énormément et le fait d’écrire un roman historique est une bonne idée.

    J'ai aussi bien aimé le caractère rebelle de la sœur de l’héroïne de votre livre car elle ne se laisse jamais marcher sur les pieds et elle tient même tête à son père.

    J'ai vraiment trouvé votre livre fantastique et je me pose quelques questions : Comment avez-vous eu l'idée d'écrire une histoire sur l'Histoire ? Comptez-vous réécrire d'autres livres historiques ? Combien de temps l'écriture d'un livre tel que Breaking the wall vous prend-il ?

    Joyeux noël à vous

    Guillaume

     

    A l'attention de Jean-Philippe Blondel



    3.

    Chère Claire Gratias,

     Je m'appelle Raphaël et je suis collégien à « La Mandallaz », un petit établissement scolaire situé dans le bassin annécien.

     Notre classe participant à un concours littéraire dont la sélection comporte votre roman « Breaking the wall », j'ai été amené à le lire durant les vacances de la Toussaint. Aujourd'hui, je vous écris, pour vous faire part de mes impressions et pour vous « rencontrer ».
     La trame du roman se situe sur une période assez courte mais s'ancre cependant dans un contexte historique fort. Elle m'a saisi dès les premières pages. L'écriture légère et simpliste constitue le point fort de cette histoire émotionnellement forte, sa fluidité rythme encore plus le roman.

     Tout au long du livre, les personnages, leurs vies si soudainement tourmentées, leurs destins si liés, nous émeuvent par leurs sentiments, leurs points de vue si différents et leurs caractères bien distincts. De plus, l'union qui se tisse entre eux pour sortir de l'enfer qu'ils vivent chaque jour dans cette Allemagne possédée est très poignante et m'a surpris d'autant plus que ceux-ci sont très surveillés.

     Le journal d'Anna constitue la majeure partie du roman dans laquelle on découvre à tour de rôle les facettes de deux autres personnes : Markus et Khlaus. J'avais énormément entendu parler de toutes ces histoires entre les personnes de Berlin-Est et celles de Berlin-Ouest, et dans cette partie « journal intime », on comprend comment deux personnes complètement opposées peuvent être rattachées à un seul et même être aimé.

     J'espère que jamais dans le monde entier, il ne se passera à nouveau de telles horreurs qui font souffrir des milliers de gens.

    Sur ce, ayant adoré votre style d'écriture et votre engagement dans le littéraire, j'attends impatiemment votre réponse rapide.

    Sincèrement
    Raphaël

     A l'attention de Jean-Philippe Blondel

    4.

    A: Claire Gratias

     OBJET: Élection du prix littéraire

     Bonjour

      Je suis en classe de 3ème et certaines des classes, dont la mienne, sont chargées d' élire le prix littéraire de l'année. Pas besoin de vous prévenir que votre livre «Breaking the wall» a été sélectionné, je me doute que vous le savez déjà. Ces élèves de 3ème sont aussi chargés d'alimenter le blog sur le site de notre collège en vous écrivant une lettre pour vous faire une petite critique de votre livre. Ceci est un peu prétentieux qu'un élève de 14 ans critique votre livre qui a eu un vrai succès.

     Votre livre «Breaking the wall» est : palpitant, prenant, surprenant et on n'a jamais envie de le lâcher. Sincèrement votre livre est le meilleur que j'ai jamais lu, en même temps dieu sait que je ne suis pas un gros lecteur. Pour tout dire, je n'ai ouvert votre roman que trois fois pour le lire. La relation entre les deux personnages est excessivement bien faite, donc rien à redire de ce livre si ce n'est que le journal intime est un poil long mais sinon un super bouquin.

     Bref encore un bouquin parfait qui devrait être sur la liste du Père Noël pour beaucoup de lecteurs en herbe. Continuez à écrire des livres aussi bien que celui-ci et vous aurez sûrement le même succès que J. K. Rowling.

    Charles

     

    A l'attention de Jean-Philippe Blondel

     

     

     

     

    5.  

                                                                                                                                                               Sillingy, le 16 décembre 2011

     

    Chère Claire Gratias

      Je m'appelle Laurine, je suis en classe de 3ème F au collège de la Mandallaz à Sillingy.

      Grâce au prix littéraire que notre établissement organise chaque année, j'ai pu découvrir des livres que je ne connaissais pas dont le vôtre, Breaking the wall. Je ne pensais pas du tout que ce roman aurait pu autant me marquer car c'est en rapport avec une période historique et tout cela ne m’intéresse pas tellement. Mais le résumé me plaisait alors je me suis lancée et je l'ai dévoré en moins de 3 jours.

     Dès le début de l'histoire, j'étais captivée, la façon dont vous racontez les événements m'a profondément touchée car c'était une période vraiment très noire de l'Allemagne. Ce qui m'a particulièrement plu, c'est le journal d'Anna, c'était très bien écrit et assez drôle au début. Mais au fil des pages, le lecteur réussit à recomposer toute la chronologie du drame au fur et à mesure des révélations du récit jusqu'à la dernière page et c'est là que l'on découvre ce qui a bouleversé le pays, ce qui l'a détruit.

     J'ai aussi été émue par le monologue de Markus et l'interview entre une journaliste et Klaus qui vont revenir 20 ans en arrière et se rappeler tout ce qui s'était passé. Leurs récits sont poignants, il y a tellement de suspense dans leurs phrases qu'on pourrait dévorer le livre en seulement une journée afin de découvrir la fin.

    Je recommande vraiment votre roman, cette période tragique si bien racontée m'a permis de voir les choses sous un autre angle et de vouloir en apprendre plus, surtout qu'il y a une très belle histoire d'amour ce qui rend le récit encore plus passionnant !

     En attendant votre prochain roman,

    Laurine


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