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Cher Yves Grevet,
Votre livre nous plonge dans une société du futur où la pollution a fabriqué un épais brouillard toxique «Nox» qui fait régner la nuit dans les quartiers les plus bas de la ville. Les personnes les plus aisées vivent en hauteur contrairement aux pauvres qui restent en bas.
Les inégalités sociales sont flagrantes car les plus aisés ont la lumière, l'électricité ainsi que l'eau courante, et plus nous descendons vers le bas, plus les personnes sont démunies, les privilégiés imaginent que les gens qui vivent «en dessous» sont des brutes, des sauvages, presque des animaux.
Nous avons pu suivre la vie de plusieurs adolescents dont la plupart vivent sous le nuage mais le héros va croiser Ludmilla, fille d'un très haut dirigeant, élevée par une gouvernante qui lui a appris la vérité sur le sort des citoyens de la ville basse.
Ce livre m'a plu, car je pense que vous avez voulu nous faire parvenir un message : ne plus continuer à polluer sinon le récit deviendrait alors réel.
J.T.
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Commentaires
3Yves GrevetDimanche 19 Janvier 2014 à 13:09Bonjour J.T.
Merci pour ta lettre. C'est vrai qu'on écrit parfois des livres pour que l'histoire qu'on y raconte n'arrive jamais, un peu comme une mise en garde. Mais pour être honnête, ce n'était pas mon premier objectif. Je veux d'abord emporter mon lecteur dans un univers et lui faire vivre des aventures et ressentir des émotions et je me sers du contexte pour rendre le récit plus réaliste.
Bonne année 2014.
Yves
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Ton orange pique les yeux!!!!!!